Bérengère Krief célèbre son autodérision avec force désinvolture.
L'humoriste s'est récemment mariée, mais cela ne va pas ralentir ses venues sur scène, pour interpréter son tout dernier spectacle en date : SEXE.
Elle y relate les non-dits sur le plaisir au féminin, les complexes et les pressions patriarcales liées à la chose, à l'orgasme et à l'intimité. Ce qui lui avait notamment valu d'en débattre avec la performeuse Lele O dans Le Journal du Hard sur Canal, l'espace d'une "Interview 69" (oui).
Et c'est la même irrévérence jubilatoire qu'elle revendique sur Instagram : elle s'y dévoile le temps d'un strip tease inattendu, dans la vidéo à retrouver ci-dessous, pour défendre son spectacle justement... Et cligner de l'oeil à ses fans, au vu de la tenue arborée. Un costume très spécial, qui a fait le tour des réseaux sociaux. Et dont elle s'émancipe volontiers. On adore.
Bérengère Krief en plein strip-tease sur Instagram.
Dans sa dernière vidéo, on la voit arborer une somptueuse robe de mariée. Pas de hasard, car la star de l'humour s'est mariée il y a peu, l'espace d'une cérémonie particulièrement célébrée sur les réseaux sociaux - jusqu'à Paris Match ! Elle y était d'ailleurs lumineuse. Et cette robe justement, l'humoriste s'en libère.
Se dévoilant en sous-vêtements, avant de détailler dans sa description : "Faudra venir me voir pour que j’enlève le haut !"
Comprendre : la voir en spectacle, dans le cadre du stand up cité plus haut. Et d'étayer encore :"Il est l’heure pour moi de reprendre la route de la Tournée et venir à votre rencontre ! Sachez que c’est mon plus grand bonheur de voyager jusqu’à vous pour partager un moment de joie et d’hilarité autour d’un thème qui me tient très, très à cœur : Le S3XE !"
Quoi de plus logique que de faire un strip-tease pour teaser un spectacle sur la sexualité ?
C'est aussi une manière pour elle de défendre ce qu'elle énonce sur scène. A savoir la liberté des femmes, à revendiquer un rapport plus direct et sain à son corps, et à sa sexualité, dans une société qui renvoie toujours celles-ci à une abondance de jugements. Et à la fameuse culpabilité millénaire que devraient éprouver ces dames. D'où ce pied de nez réjouissant.
