"Avant je détestais mon corps, je me punissais, je me torturais même", témoigne Demi Moore, élue "plus belle femme au monde"
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"Avant je détestais mon corps, et je me punissais", témoigne Demi Moore, élue "plus belle femme au monde" par ce magazine
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Demi Moore se livre sans filtre dans une longue interview pour PEOPLE, dont elle occupe la Une, élue par la revue "plus belle femme au monde".
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"Je me suis déjà regardée dans le miroir en me disant : tu es vieille et ton visage tombe en ruines". Demi Moore aborde sans détour l'âgisme, la dysmorphie corporelle, le rapport à son apparence, aux jugements des autres et à soi même dans cet entretien.
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"Je pense que ce qui m'a vraiment touchée, c'est la violence que l'on peut avoir envers soi-même. Je me suis torturée moi même physiquement. Avec des choses folles comme faire du vélo de Malibu jusqu'à Paramount, ce qui représente environ 42 kilomètres"
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"Tout cela parce que j'accordais tellement d'importance à ce à quoi ressemblait mon apparence extérieure. Je pense que la plus grande différence aujourd'hui, c'est que cela concerne bien plus ma santé générale, ma longévité et ma qualité de vie"
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"Je pense que j'ai évolué vers une plus grande bienveillance envers moi-même. J'étais très sévère et j'avais une relation beaucoup plus conflictuelle avec mon corps"