





Scandale !
A chaque jour suffit sa polémique autour de l'affaire Lively vs Baldoni, la plus médiatisée du moment.
Depuis les accablantes accusations de Blake Lively l'an dernier, dénonçant du harcèlement sexuel dont Justin Baldoni, cinéaste et partenaire sur It Ends With Us, serait l'auteur, et les contre attaques d'icelui, fustigeant par avocats interposés une "diffamation" entièrement élaborée par la star, vidéos et vocaux divulgués à l'appui, tandis que son ex consoeur l'allègue en retour d'avoir mené une campagne de cyber harcèlement à son encontre, les retournements de situation, contre vérités et théories du complot n'en finissent pas.
La plupart du temps, destinées à déconstruire la réputation d'une Blake Lively érigée sur les réseaux sociaux et dans les médias en nouvel épouvantail d'une société jamais avare en misogynie facile. Alors que d'aucuns s'exercent à séparer le bon grain de l'ivraie, d'autres vouent à Lively un sort égal à celui de Amber Heard, l'une des femmes les plus détestées du web - et harcelées en ligne. Les médias n'ont donc rien retenu de MeToo.
Nouveau rebondissement aujourd'hui : l'arrivée en fanfare de Taylor Swift.
Grande amie de Blake Lively, la chanteuse se retrouve au coeur de ce scandale juridique et médiatique. Justin Baldoni l'accuse effectivement d'avoir interféré dans l'écriture de son film, It Ends With Us donc (Jamais Plus), de par son lien amical puissant envers Lively. D'avoir relu le scénario de l'oeuvre, retouché par Lively. Et participé à une sorte de machination visant à dé-légitimer le travail de Baldoni, aux côtés de l'âme soeur de Lively : Ryan Reynolds, surpuissante star hollywoodienne et producteur de renom.
Mais d'autres discours encore viennent d'être révélés...
Médias people et enquêteurs amateurs en rendent compte par investigation, relais de communiqués juridiques et vidéos virales..
Blake Lively aurait effectivement menacée Taylor Swift de divulguer des textos d'icelle si la chanteuse ne la soutenait pas publiquement dans la presse et sur les réseaux sociaux. Des conversations privées vraisemblablement accablantes pour la chanteuse la plus écoutée au monde. Autrement dit : la popstar du 21ème siècle serait carrément victime de chantage de la part de l'actrice de Gossip Girl.
Plus si meilleures amies que cela, donc. Y'a-t-il anguille sous roche ?
Une assertion brûlante à manier avec énormément de pincettes. Car cette révélation du moment émane d'un endroit précis : c'est ce qu'affirment les avocats de Justin Baldoni. Pas forcément les regards les plus objectifs dirigés vers les deux femmes donc. D'autant plus qu'ils ont pu à l'unisson accuser Taylor Swift par le passé. La preuve de ces lourdes allégations ? Une "source anonyme qui est très susceptible de détenir des informations fiables", dixit le camp Baldoni.
Et l'avocat de Blake Lively de mettre les points sur les i l'espace d'un communiqué, révèle le magazine PEOPLE : "Nous nions catégoriquement toutes ces soi-disant allégations"
Qu'importe, la rumeur court. "Cette source fiable a laissé entendre qu'en cas de refus de Mme Swift, les SMS privés à caractère personnel en sa possession seraient divulgués", précise encore le communiqué officiel des avocats de Justin Baldoni, lesquels dénoncent une "tentative d'intimidation et de coercition contre un témoin dans ce litige" à l'encontre de l'interprète de Blank Space.
Dès lors, rien ne va plus : les avocats de Taylor Swift se retrouvent contraints à rétorquer, en parallèle du camp Lively, alors que public et journalistes ignorent précisément de quelle "partie" émanent précisément les véritables menaces... Et pendant ce temps, lesdits avocats s'exercent également à répondre aux toutes premières accusations, ces allégations d'ingérence de Swift dans le développement du film It Ends With Us.
Affirmant solidement dans un communiqué là encore relayée par PEOPLE : "Taylor Swift n'a jamais mis les pieds sur le tournage de ce film, elle n'a participé à aucun casting ni aux décisions créatives, elle n'a composé aucune musique, elle n'a vu aucun montage ni pris aucune note sur le film".
Affaire à suivre.