Le casting de la saison 15 de Danse avec les stars est au complet. Et parmi la liste des célébrités qui vont fouler le parquet du studio 217, on retrouve la streameuse française Maghla. Elle rejoint un panel de célébrités déjà annoncé, comprenant JujuFitcats, Emma de la Star Academy, Laure Manaudou ou encore le comédien Ian Ziering.
En janvier 2025, la jeune femme est devenue la première créatrice issue du streaming à atteindre le million d’abonnés sur Twitch. Un record qui la place parmi les créatrices les plus suivies de sa génération. Au fil des années, Maghla a élargi son univers sur YouTube où elle est suivie par 1,37 million d'abonnés. Elle anime également un podcast, "Sip & Gossip", figurant parmi les plus écoutés de l’année. La streameuse la plus suivie de France collabore avec de nombreuses marques, elle a notamment défilé pour L'Oréal Paris, et a participé aux deux dernières éditions du GP Explorer de Squeezie. En participant à DALS, Maghla - de son vrai prénom Barbara - se lance donc un nouveau défi !
Sur les réseaux sociaux, les internautes se réjouissent de sa participation. "Je vais regarder seulement pour elle", "Je ne vais louper aucune émission", "Maghla a une énorme communauté, elle ira sûrement en finale", commentent ses fans.
Mais une fois de plus, la streameuse fait l'objet d'hypersexualisation et de sexisme. "Elle a un physique à avoir un OnlyFans", "Son danseur va se régaler", "Encore une excuse pour se foutre à poils", peut-on lire. Ce n'est pas la première fois que Maghla est harcelée, sexualisée et critiquée en ligne. La jeune femme s'est imposée comme une voix forte contre le sexisme en ligne. En octobre 2022, elle avait pris la parole sur X (ex-Twitter) dans un long témoignage pour dénoncer le sexisme et le cyberharcèlement dont elle était victime. Elle avait notamment porté plainte contre un homme de 27 ans, qui prétendait "être en couple avec elle" en lui envoyant des dizaines de messages et de nombreuses menaces. Son harceleur avait été condamné à une peine de six mois avec sursis, la première condamnation pour cyberharcèlement sur Twitch en France. Interrogée par l'AFP en octobre 2025, elle avait déclaré : "C'est mieux qu'il y a huit ans, mais il y a encore du chemin. Il faut avoir les épaules solides".