Un mois après une apparition toute en sensualité à la Mostra de Venise pour présenter le film de Cédric Jimenez, Chien 51, Adèle Exarchopoulos est de retour devant appareils photo avec un look diamétralement opposé, hyper tendance pour certains, décevant pour d’autres.
En effet, ce dimanche 5 octobre, la star de la Vie d’Adèle est venue assister au défilé Lacoste, qui présentait sa collection printemps-été 2026. Pour l’occasion, l’actrice française est arrivée avec un look sportswear gris clair avec des bandes blanches, composé d’un pantalon et d’une veste zippée oversized. Le détail qui change tout ? Adèle Exarchopoulos a accessoirisé cette tenue street d’escarpins pointus blancs et du sac Lenglen de Lacoste.
Si les fans de mode sportswear se délectent de ce combo audacieux mis en avant par Adèle Exarchopoulos, ce look est loin de faire l'unanimité auprès des internautes. Et pour cause, sur les réseaux sociaux Instagram et TikTok de nos confères de chez Purepeople, les commentaires vont bon train pour critiquer la tenue de la comédienne : “Au secours…”, “Zéro effort Adèle t’abuses tu peux être sublime”, “C’est une nouvelle mode le survêtement ??”, “Décidément cette fille et les fringues ça restera un mystère…”, “élégance en jogging ?”.
Mais au-delà de simplement critiquer sa tenue, certains se sont sentis obligés de donner leur avis sur le physique de la jeune femme de 31 ans. “Elle a l’air si fatiguée”, “C’est plus des poches qu’elle a sous les yeux”, “Elle a pris un coup la spice girl”, “Elle est sublime avec une heure de maquillage derrière forcément au naturel c'est plus pareil, comme tout le monde”, peut-on lire sous les vidéos d’elle aux côtés de l’acteur Pierre Niney.
C’est sûrement le bon moment pour rappeler une énième fois que, si on peut évidemment porter un regard critique en toute bienveillance sur un look, critiquer le physique n’est en revanche jamais acceptable. Surtout quand ces remarques sont doublées d’insultes. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’Adèle Exarchopoulos est victime de commentaires déplacés sur son visage, quand ce n’est pas pour critiquer sa façon de parler.