Laurent Ruquier compare Valérie Trierweiler à Nabilla

Publié le Lundi 13 Octobre 2014
Julie Legendart
Par Julie Legendart Journaliste
Laurent Ruquier compare Valérie Trierweiler à Nabilla
Laurent Ruquier compare Valérie Trierweiler à Nabilla
Dans cette photo : Laurent Ruquier
Valérie Trierweiler n’est plus une ex-première dame mais une « candidate de téléréalité ». C’est ainsi que Laurent Ruquier a décrit l’ancienne compagne de François Hollande, samedi, sur le plateau d’« On n’est pas couché ». En cause, l’omniprésence de l’intéressée dans les médias.
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Depuis le 4 septembre dernier et la sortie de Merci pour ce moment, l’ouvrage dans lequel elle dévoile l’intimité de son histoire d’amour avec le président François Hollande, Valérie Trierweiler squatte la scène médiatique. De ses séances de dédicace à Angers à ses balades à dans le quartier parisien de Barbès sans oublier ses virées nocturnes au Banana Café, un bar du Marais, pas une semaine ne passe sans qu’il ne soit question de l’ex-première dame. Une omniprésence médiatique qui n’a pas échappé à Laurent Ruquier. Ainsi, le 11 octobre dernier, sur le plateau d’« On n’est pas couché », l’animateur de France 2 a ouvertement moqué et critiqué le comportement de Valérie Trierweiler dans son « Flop Ten ».

« Elle fait une crise d'adolescence »

« Le Banana Café, avant c'était le repère de Frigide Barjot, qui a une rivale maintenant avec Madame Trierweiler. Elle, c'est Rigide Fardeau plutôt », a-t-il lancé. Et de poursuivre : « Après les balades à Barbès, sans protection, voilà maintenant la teuf dans les bars gays du Marais. On craignait que Valérie Trierweiler nous fasse une déprime, pas du tout ! En fait, elle fait juste une crise d'adolescence. Elle fait tout pour qu'on parle d'elle. Elle veut être people ». Celui qui est désormais à la tête des « Grosses Têtes » sur RTL, a par ailleurs jugé que l’intéressée n’était plus une « ex-première dame » mais qu’elle était devenue une véritable « candidate de la télé-réalité ». Le sourire aux lèvres, Laurent Ruquier a finalement conclu sa charge. « On avait Nabilla à l'Elysée et on ne le savait pas, avec Madame Trierweiler ! », a-t-il tranché. Valérie Trierweiler appréciera.