Il n'y a pas que dans les films pornos que l'on peut se retrouver devant des corps complètement dévêtus. Au cinéma aussi, les tout nus crèvent l'écran. Et même dans des films grand public. Cette nudité pour tous, on l'aime et on l'encourage. Après tout, pourquoi ne pas montrer ce qui est tout à fait naturel ?
Que ce soit pendant des passages courts ou des scène plus intenses, on a recensé sept longs-métrages qui mettent leurs acteurs à nu au sens propre du terme. Des films français et américains avec des thèmes plus ou moins gais que l'on connaît forcément, mais que l'on n'a peut-être jamais vu sous cette angle. Et pour être honnête, on n'est pas peu fières d'avoir pu caler Le Gendarme de Saint-Tropez et un film de DiCaprio dans le même article.
Le deuxième film de la saga signée Cédric Klapisch retrouve Romain Duris, alias Xavier, dans ses aventures amoureuses, entre grande fresque amoureuse et déceptions. C'est pendant l'une d'entre elles, sa relation avec Neus (l'Espagnole qu'il avait déjà rencontré dans le film précédent) que l'on observe une séquence à poil dans Paris. Une course post-dispute qui se finit avec les deux protagonistes tout nus dans l'escalier en colimaçon, tout nus dans la rue, tout nus au passage piéton. Court mais efficace.
Pour celles et ceux qui seraient passé·es à côté de ce classique du cinéma français, ce n'est pas Louis de Funès qui se trimbale en tenue d'Adam, mais les nudistes qu'il tente d'interpeller tant bien que mal (les années 60 n'étaient pas tendres avec les phobiques du textile). On voit se balader une ribambelle de paires de fesses qui se dorent la pilule au soleil à Saint-Trop', et on a des envies de vacances immédiates.
Derrière The Dreamers, il y a un frère (Louis Garrel), une soeur (Eva Green) et un étudiant américain (Michael Pitt). Entre amitié, fraternité et amour, ils passent une bonne partie de leur temps à patauger dans une baignoire et à s'allonger sur un lit plus ou moins propre sans l'ombre d'une fringue. Une sorte de fantasme de la vie française qui se résume à une tonne de plans d'Eva Green complètement nue et à des réflexions sur la vie.
Changement de décor et d'ambiance. Cette fois-ci, ce sont les paysans qui tombent le bleu de travail pour défendre leurs terres face au capitalisme. Ils se montrent dans leur plus simple appareil devant un photographe qui promet que ça frappera les esprits et les aidera à arriver à leurs fins. De jolies phrases type "Et toi, tu vas la montrer ta quéquette ?" qui offrent un rayon de soleil à la Normandie.
La rencontre entre Adèle (Adèle Exarchopoulos) et Emma (Léa Seydoux) qui se transforme en une passion dévorante entre sentiments puissants et scènes de sexe torrides. Les deux actrices le jouent comme s'il n'y avait personne autour. Elles se découvrent, s'aiment et s'entraînent dans un tourbillon de nudité et d'émotions qui marquent encore.
Leonardo DiCaprio en roi de la finance new-yorkaise, Margot Robbie en jeune fiancée qui sait ce qu'elle veut et comment l'obtenir, Jonah Hill en associé du premier. Ajoutez à cela une bonne dose de moments de débauche qui incluent même une vision du sexe prothétique de Jonah Hill, et vous avez un film cul(te) récompensé aux Golden Globes.
Sur ce tournage, Tom Cruise et Nicole Kidman jouent un couple marié à deux doigts du divorce, alors qu'ils sont eux-mêmes déjà mariés. Le synopsis est simple : il sent que ça foire, elle dit qu'elle rêve d'un amant, ça finit en orgie masquée. Le dernier film de Stanley Kubrick propose donc une solution toute personnelle pour régler ses problèmes matrimoniaux.